Malgré son nom évocateur, Mojo n’est pas le restaurant d’Austin Powers… Mojo, c’est plutôt le genre de restaurant hybride qui se la joue sandwich vite fait (mais bien fait) au déj’, et qui s’encanaille à coup de tapas dès la nuit tombée. Aux manettes, on retrouve Guillaume Iskandar (Garance) qui signe ici la carte d’un Mojo Kitchen Lab totalement retro. Mo Mo Mo Mo MoJO !
Super Fashionisto vs Mamie Gâteau. Après « Garance » et « Léda », Guillaume Iskandar signe la carte du restaurant / bar / tapasseria « Mojo KitchenBar ». Au dîner, la carte (qui change tous les mois) est totalement éclectique et n’hésitent pas à faire le grand écart entre des recettes de tapas expérimentales et les grands classiques de mamie Lucienne.
Hippies Hypes. D’ailleurs, le 3ème âge est aussi à l’honneur dans la déco grâce à de multiples références aux Sixties : papiers peints aux motifs en veux-tu en voilà, meuble design, les touches de bleu canard, etc. C’est du « Retro chic » comme on dit.
Des tapas qui tabassent. Déjà chez Mojo, on ne commande pas des « Tapas » mais des »Lêche-Doigts » (il parait que c’est meilleur appelé comme ça). Dociles, on s’est donc envoyé quelques « Lêche-doigts » et on a sélectionné les meilleurs rien que pour vous : la Burratina au persil / huile d’olive, le Tartare de chèvre, noisettes & aigre doux ou encore la Crème de maïs, oeufs pochés, sauce au gouda, champignons et mouillettes et pour finir le Poulpe grillé, purée de carotte au curry. De 6 à 14€ le tapas, à conseiller aux foodies avertis.
Le goût de l’aventure. Pour ceux qui aime vivre dangereusement, tentez l’expérience « Sushis poireaux & saumon, sauce soja aux agrumes ».
Le petit + : On a aimé le service soigné et la playlist du resto qui met à l’honneur des stars oubliées mais terriblement au goût du jour comme France Gall, Led Zeppelin ou Jamiroquai…
Rendez-vous au Mojo Kitchen Bar, 23, rue Louis le Grand, 75002 Paris